idées noires

J'avais commencer a écrire une petite nouvelle sans prétention, qui n'est d’ailleurs pas finie mais si quelqu'un pouvais me fournir un scanner je pourrais la poster ici et ainsi avoir vos avis dessus
merci d'avance


La nouvelle n'a pas encore de noms bien définis mais a comme sujet une personne dépressive avec théoriquement une fin surprise. Le sujet implicite est un essaye sur l'univers, des questions métaphysique, le voyage dans le temps, la vie en général ect...


quand le debut de la nouvelle sera poster prière de ne pas poster de commentaire ridiculisant svp

Bon ba je me suis rendu compte que mon texte papier était illisible (sauf pour moi) alors plus besoin de scan j'ai tout retaper sur l'ordi

Comme tout les matins mon réveil sonne, à 6h50 précise, comme tout les matins je suis fatigué, comme tout les matins je donne un violent coup dessus pour l'arrêter.
Mon répit n'est que de courte durée, 10 min, à 7h00 il remet sa, et moi de même.
Cela dure environ jusqu'à 7h20, non pas que je sois moins fatigué, juste mon estomac, tout les jours à 7h20 il effectue un soubresaut dans mon ventre. Si on tend l'oreille on pourrais entendre un léger cri de désespoir «  Famine, famine, FAMINE ! » Tel est le cris du ventre en colère.
C 'est ainsi que comme tout les matins je me lève, sauf qu'aujourd'hui je sais qu'il ne me reste plus qu'une semaine. Nous somme mardi aujourd'hui, samedi le lourd bras de la vengeance s'abattra sur moi, pour en finir une bonne fois pour toute.
La salle de bain est libre, il faut que je précise que je partage ma vie avec trois locataire, Marcel, Jacqueline et la plus jeune Odette, je la hais.
Après la salle de bain je m'habille. Mon petit déjeuner est rapide et frugale, l'heure tourne inlassablement, irrémédiablement, comme si chaque seconde était déjà perdu, oublier.
L'heure de partir au bagne, ou au travail selon les personnes, est déjà passé, bout de pain en bouche, coincé entre mes dents j'enfourche rapidement ma monture, mon simple mais efficace vélo, toujours fidèle à son poste.
J'allume mon mp3, la musique se déchaine, que du bonheur.
Je suis presser de quitter cette appartement, trop petit, mes colocataires que je déteste, mais je n'ai aucune envie d'arrivé sur mon lieu de travail.
Je continue de pédaler, savourant ma douce musique.
Le feu passe au rouge, je le grille, me fais klaxonner, mais n'y prête aucune attention, ces petites chose arrive a tout le monde. Tel sont les péripéties de la vie. Mais quesque la vie ? Les scientifiques pensent qu'elle n'est que la résultante d'équations de réactions entre atomes et molécules. Les sensations qu'on peut éprouver ne sont elles pas irréelles ? Après tout ce ne sont que des signaux électriques du à une certaine réactions chimique. Ces même signaux qui seront les parents de nouvelle réactions.
La vie ne serais elle pas guidée par ces réactions. La trame même du monde , le temps, l'espace, ne serais pas déjà écris ? La minutes qui suis la précédente ne serait-elle pas une autre étape de l'avancement de la super-réaction gouvernant l'univers ?
Si tel est le cas, nos conscience serais aussi un ensemble de réaction chimique. Mais je ne peux y croire, sinon nous serions tous les même, nos degrés de compréhension, d'humour, de lecture serais les mêmes, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Peut-être que les Grecs avaient raison de croire que l'âme est immortelle, que l'oublie lui permettrait de revivre dans une nouvelle enveloppe charnelle.
Dernier feu rouge avant l'arriver, dernière pensée de motivation. J'arrive, j'accroche mon vélo, il me reste un peu de temps, dernière chance de profité du cours laps de temps, j'en grille une, à peine le temps de la finir que sonne 8h00.
18h00, enfin l'heure de rentrer, je monte mon fidèle destrier, et me revoilà parti sur la route.
L'envie de quitter ce bagne, où mon patron ne fais que me rabâcher la pauvreté de mon travail, est si importante que je grille un nouveau feu rouge.
Tout d'un coup le dégout que j'éprouve pour mon « chez moi » me reviens, terrible torture que de devoir rentrer chez soi, s'occuper de ces colocataires. Le pire c'est que j'ai encore du travail a finir, une montagne de travail.
Que faire ? Rester sur la route indéfiniment, impossible, comment prolonger cet instant magique où tout soucis est oublié, mon travail abominable, mes colocataires détestable, mes camarades immondes, comment ?

Premièrement pour les éventuelle fautes (de frappe ? ) soyer indulgent
Deuxièmement il n'est pas fini
Troisièmement j'attend vos commentaire constructif

C'est sympa, c'est presque ton réel quotidien donc c'est sympa. Revois le vite fait et continue !

Ouais je vais taché de me remettre en condition, puisque sa fais longtemps que je l'avais écris (2-3mois) et je ne sais plus exactement la fin que je voulais, mais je vais le continuer.
Faut aussi que je fasse le scénario pour le film(mais il sera fait a la date qu'il faut tkt)

Ouais, c'est sympa !
Très réaliste... Tes collocs, ce sont pas les noms de tes parents et de ta soeur, par le plus grand des hasards ?

nan même pas :p
je les est changer quand même, j'avais de l'inspiration se soir la, faut que je la retrouve

Ah d'accord !
Et bien bonne chance pour continuer !

SUITE

Le dernier virage, et me voilas dans l'ascenseur, putride endroit, ou les vapeur d'alcool entre en conflit avec les viriles senteur du chien en rut du troisième.
Comment se mettre au travail alors qu'on a juste envie de se défouler, en l'absence de punching-ball il ne reste plus que l'ordinateur et sa multitude de jeu ou le bourrinisme le plus total et les armes les plus sanglantes sont amies.
Viens l'heure de plus belle la vie, haaa que me fais rêver cette pauvre série surréaliste, ou des gamins de 16 ans ont les moyen de se payer un jerricane d'essence, dans se monde presque idéaliste ou les jeux des acteurs sont si mauvais que la compréhension des lignes implicites de la trame de cette belle vie en deviens incompréhensible, pire que le discours du joyeux célèbre acteur de ce foutu film dont je n'arrive pas a me souvenir du nom, enfin bref .
Le repas est finalement engloutie, sous les montagnes de cris, de gémissement et de gloussement de chacun de colocataires, même moi n'échappe pas a cette règles, comment peux ont avalé sa ? Un amas putride de viande et de chose a la couleur vaguement verte, avec des nuance de rouge, que l'ont nomme poisson, je me suis toujours imaginé qu'un poisson avais de gros yeux globuleux entièrement gris, mais je dois confondre avec l'animal «  vache » .
finalement 22h sonne a la porte, le couvre feu approche, et le marchant de sable vielle près de mon lit, ainsi que le travail qu'il me reste...
hoarf, tient nous somme mercredi, je sens que je vais être de bonne humeur pour une fois.
Les même rituels se déroule, le premier feu rouge.
J'aime le cynisme, j'aime l'humour noir, une des seul chose qui me fasse encore du bien dans se bas monde, qu'on appelle le paradis terrestre, tu est gentil M. Dieux ici tout va pour le mieux dans les meilleurs des mondes. Et oui j'aime l'humour, j'aime rire, pourtant je sort toujours des blague a deux balles, ha pan pan … Il y a mon chat aussi, mais le pauvre bougre dors tout le temps, satané boule de poils, la vache se que c'est mignon... Harf je m'égare, le tram, il me fonce dessus.
Étrange que dans notre monde l 'ironie, le cynisme, et toute cette multitude d'humoriste existe, je dis étrange ? Je dirais même plus, curieux, comment ce fait il que dans ce monde ou le marché de la gente féminine, qui se fais sous le manteau, et qui est si important, ou nous somme libre, de parlé et de nous exprimer nous utilisons encore ces formes de « littérature » , de plus qu'elle ne sont la que pour nous extirper des morceau de papier.
Étrange, curieux, les même problèmes sévisse toujours dans ce bas monde, le pouvoir, l'argent, le sexe, mais à croire que nos dirigeant sont moins con qu'autrefois, ils savent désormais mieux contrôlé la censure, sans qu'elle n'existe.
Crissement de pneu, cette connasse n'a pas mis con clignotant, et dire qu'on me refuse toujours a moi le permis, pour « comportement trop anarchique sur la route »
Tient j'ai une promotions, youpie encore une montagne de dossier a trier, j'ai pas a me plaindre, ma voisine de bureau, deux foi qu'elle se retrouve dans le bureau du grand patron.
Hum mon lit, pwa que c'est bon d'être dans son lit, me voilas rêvasser de dormir dans mon lit sur mon bureau.
Je crois avoir trouver la clef, cette énigme que tout le monde se pose, ne chercher plus a trouver sens de votre vie, ou de connaître le futur, vous le connaitrez bientôt.
Finalement notre vie n'est qu'un amas de système, action-reaction, nous somme contrôlé, à note ainsu, par ls vers qui te gratte le trou du cul, autant que par ta soif, ou même ta faim, comme si tout avaient était écris par le grand Manitou, putain quel connard se mec franchement.
J'ai aussi trouver la réponse a pourquoi l'herbe est toujours plus verte chez le voisin, lors de mes divagation, mais je ne m'en souvient plus. De toute façon j'aime pas le vert.
Et hop hop hop, me revoilà sur la route, feu vert se soir, un heureux événement se prépare t'il ? Peut être la découverte de la machine a remonté le temps ? Ho mais se serais si simple a réalisé, il suffirais de crée un passage inter-univers, ou la seul différence entre ce monde ci et le notre et le décalage horaire, ou encore crée un univers entier, jouais au grand Manitou, éventré Hitler pour son huitième anniversaire.
Ma superbe porte, menlala qu'elle est belle, dix bonne minutes que je suis devant maintenant, sans trouver assez de volonté pour l'ouvrir.
Finalement j'entre, plus de jus d'orange, putain fils de pute de grand Manitou, tu pouvais pas me donner jus d'orange a volonté, sale enfoiré d'égoïste !
Et cette pute de Tv qui raconte toujours ces même conneries, pétasse tu va arrêtez ! Sa te suffis pas de mettre l'économie du concombre a sac, tu veux aussi qu'on crée un évènement sur Facebook en l'honneur de cette tarez qui a congelez ces gosses ? J'ai trois gamin aussi dans mon congélateur moi aussi, des petites poussin, se soir on mange chinois et alors ? Cette pauvre femme a pas le droit de mal comprendre consignes du livres de recettes ?

dsl le poste, mais ne prenez pas en considération les fautes svp, jsuis un peu fatigué à cette heure ( 4h39 du matin )

SUITE

ha le doux son d'un pack de bibine, délicieux son, merci le supermarché, aujourd'hui les couse sont arrivé ! Pour moi le pack !
Se posé sur son fauteuil, regarder un super film. Première bière, deuxième bière.... Sortir religieusement la bouteille de scotch caché sous le lit, s'enfilais un bon gorgeons, puis un deuxième, puis un sixième ..
L'oublie des soucis, la joie de plus savoir marché droit, les murs qui gondolent, le bonheur sous forme liquide !
Bwarf adieux le travail, salutation au pays des merveilles !
Tient un éléphant rose, un zèbre vert, je crois je j'aurais du manger moins de champignons se soir.
De multiple inscription sont posée sur mon mur, ma mémoire a tendance a se transformer en gruyère, « effet secondaire » qu'ils appellent sa. la lecture s'avère rudement compliqué quand on est heureux, « criptide », « aller au travail TOUT les matins », le nom d'un groupe de musique ou encore « 666 rdv 11h samedi 666 », se rendez vous maudis, contraint et forcé par le boss, tu prend rendez vous ou tu prend la porte qu'il m'a dis, lourde porte en fer noir, elle ne rentrais pas dans ma voiture, du coup j'ai été obliger de prendre rendez vous.

Wow, sympa !
Fais gaffe, certains passages sont limite incompréhensibles... Les fautes je n'en parle pas, j'ai l'habitude à force ^^
Peut-être un peu trop rentre-dedans par moments, mais il y a des passages très sympas. Globalement, c'est cool.
Continue !

ya une grosse partie qui a était ecrite très tot le matin, vers 3-4h du matin
rentre -dedans, tu veux dire cru ?
Je vasi parlé un peu plus du principe de l'histoire, on suis les divagation d'un personnage monotone, par moment blasé, il a pas vraiment de vie, on ne sais rien de sa vie, il ne vis que dans les rares moment ou il se sent libre, c'est a dire dans ces trajets quotidien du boulot a chez lui, et vice versa.
Son deuxième moyen de sortie et l'alcool. Dans ces quelque rare moment ou il a l'impression de vivre, il se pose des question, quesque la vie ? le sens de la vie et plein d'autre chose, de multiple question de métaphysique ect....
bien sur la chute est une vrai chute, qui j’espère en surprendra plus d'un, mais malgré une chute surprenante, qui n'aura peut être aucun rapport avec l'histoire, ne dois pas decredibilisé cette nouvelle .

C'est trop bête j'en suis à la deuxième partie j'étais à fond dedans et soudain c'est devenu illisible et j'en suis sorti ! Fait gaffe Gui c'est génial ce que tu écris mais si on peux pas te relire c'est pas la peine ^^ Allez continue de t'exprimer !

trop de faute, ou mon écriture est trop compliqué pour vous ?

Je dirais qu'à certains moments, tes phrases sont déconstruites, pour ne pas dire complètement bordéliques, ce qui les rend parfois incompréhensibles, ou en tout cas aptes à larguer le lecteur.
Les fautes n'aident pas non plus, mais c'est plutôt secondaire...

je fais pas de brouillons et ya des partie que j'ai pas relu, mais sa représente un peu comment c'est dans ma tête, les idées se bousculent, les réflexions et parfois c'est dure a retranscrire.

Et si tu publiais ce que tu écris actuellement ? Enfin, ce que tu veux... C'est intéressant, et ça vaudrait, je pense, le coup de partager.

Je vais pas tarder à le faire, d'ailleurs je pense bientôt tout mettre dans un seul ficher office et je t'envoie le tout en brut force :p ( et après tu te dermerdera puisque moi et les ordis on s'aime par alternance et la c'est la fase moins :p )

J'ai tout, donc je vais organiser tout ça et uploader...
J'ai un peu de retard dans une nouvelle à livrer ce week-end, donc je gèrerais certainement ça seulement en fin de semaine finalement.
Mais ça va être en ligne !